@News INSU, 8 novembre 2017
Une équipe internationale, comprenant des chercheurs du laboratoire Environnements et paléoenvironnements océaniques (EPOC/OASU, Université de Bordeaux / CNRS), du laboratoire Géosciences Paris-Sud (GEOPS/IPSL, CNRS / Université Paris-Sud) et du Laboratoire des sciences du climat et de l’environnement (LSCE/IPSL, CNRS / CEA / UVSQ), vient de mettre en évidence que les changements de température de l’hémisphère nord qui se sont produits il y a environ 5000 ans constituent l’un des facteurs déterminants de la fin brutale de la période dite du Sahara vert. Les futurs changements de température aux hautes latitudes de l’hémisphère nord pourraient donc avoir d’importantes répercussions sur le cycle hydrologique saharien.
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